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Contrôle périodique des abris (CPA)

Dans le cadre du contrôle périodique des abris (CPA), qui est une exigence fédérale, la Municipalité a confié ce mandat à l’entreprise AbriAudit SA. Nous informons les propriétaires concernés par ce contrôle, qu’ils devraient recevoir un courrier de l’entreprise AbriAudit, avec la date de passage, une liste de contrôle, ainsi que des informations relatives à la préparation et l’entretien de l’abri. Nous remercions les propriétaires de bien vouloir se conformer aux exigences de contrôle et de réserver un bon accueil à l’entreprise AbriAudit
Dans le cadre du Contrôle périodique des abris et en réponse à certaines interpellations, l’administration municipale informe les propriétaires concernés de la manière suivante :

Qui assume la responsabilité du CPA ?
Le CPA constitue un mandat légal imposé par la Confédération. Le canton assume la responsabilité générale du CPA. Il en a délégué la mise en œuvre aux communes.

Fréquence des contrôles
Les autorités contrôlent les abris tous les dix ans au moins. Préalablement au contrôle, les propriétaires et les gérances doivent procéder à certains travaux préparatoires.
L’Office de la sécurité civile, du sport et des affaires militaires (OSSM) communique aux propriétaires ou à la gérance les éventuels défauts relevés lors du contrôle. Ceux-ci doivent être réparés d’ici au prochain CPA.
La désaffectation d’un abri requiert l’accord de l’Office de la sécurité civile, du sport et des affaires militaires (OSSM). Celui-ci examine si une telle démarche est possible.

Dans quels cas la désaffectation d’un abri est-elle possible ?
L’OSSM peut autoriser la désaffectation d’un abri

  • si l’abri entrave démesurément ou empêche une transformation dans un bâtiment existant,
  • si l’abri se situe dans une zone très menacée,
  • si la modernisation occasionne des coûts excessifs,
  • si la commune a terminé le contrôle périodique des abris, qu’elle dispose d’un inventaire des places protégées d’au moins 120 pour cent et que l’abri en question compte moins de 25 places, ou
  • si la construction de l’abri date d’avant 1966 (année de l’entrée en vigueur des instructions techniques pour la construction d’abris obligatoires).

Demande préalable à la demande de désaffectation d’un abri
Avant de remplir la demande de désaffectation d’un abri, vous avez la possibilité de nous adresser gratuitement une demande préalable comportant une brève description des mesures envisagées, un plan et vos conclusions.

Complément, Procédure à suivre pour la désaffectation d’un abri :

  • Envoyez la demande de désaffectation d’un abri à la commune, en y joignant les plans d’adaptation ou tout autre justificatif utile.
  • La commune transmet votre demande à l’OSSM par le biais d’eBau ou par la poste pour appréciation. L’utilisation d’eBau n’est possible que si une demande de permis de construire est déposée simultanément.
  • Si la demande de désaffectation d’un abri est déposée dans le cadre d’une demande de permis de construire, l’OSSM envoie son rapport officiel ou sa décision à l’autorité compétente pour l’autorisation (commune ou préfecture).
  • Des émoluments seront facturés

Toutes les informations utiles sur : www.bsm.sid.be.ch -> Contrôle périodique des abris

Fermeture

Le bureau municipal est fermé du 22 décembre 2023 à 12h au 8 janvier 2024 à 7h30.

En cas d’extrême urgence, vous pouvez joindre M. Rindlisbacher, maire, au 079 622 15 26

Pour rappel, nous ne vendons plus de carte journalière

Nous vous souhaitons de belles fêtes et une heureuse année 2024

 

Fenêtre de l’avent 2023

Reportage

Les fenêtres de l’Avent, tradition honorée dans la région
Les fenêtres de l’Avent sont une tradition honorée dans l’Arc jurassien. À Courtelary, depuis 2018, la famille Weber ouvre ses portes aux habitants du village pour un moment de partage autour d’un vin chaud. Cette coutume connaît un grand succès auprès des citoyens du Jura bernois. À La Grande-Béroche, c’est le BeRock Festival qui recevait le public dans son local de répétition.

https://www.canalalpha.ch/play/le-journal/topic/32346/les-fenetres-de-lavent-tradition-honoree-dans-la-region


Atelier village – retour

La révision du PAL peut s’appuyer sur des bases précieuses

Le Conseil municipal tire un bilan très positif du travail mené à sa demande par EspaceSuisse (l’Association pour l’aménagement du territoire), lequel débouche sur de précieuses recommandations.
Philippe Cattin, conseiller municipal en charge principalement de l’urbanisme et donc du plan d’aménagement, rappelle que l’Exécutif a choisi de lancer, par ce mandat et donc par une consultation de la population concernée, la révision totale du Plan d’aménagement local (PAL). Cette révision occupera les autorités durant plusieurs années et pourra donc s’appuyer sur les propositions émises à la fois par EspaceSuisse et par les habitantes et habitants qui se sont exprimés et qui s’exprimeront encore, à travers l’Atelier-Village d’avril dernier et/ou dans les groupes de travail qui se sont formés à cette occasion.
« Il est très important, pour le Conseil municipal, que la révision puisse se nourrir des envies et des idées émanant de la population, dont le PAL doit absolument obtenir une large adhésion », souligne l’élu.

Le regard des pros
Grâce au mandat confié à EspaceSuisse, les autorités bénéficient désormais d’un rapport fouillé, débouchant sur de nombreuses propositions/recommandations/suggestions. Celles-ci reflètent à la fois les idées récoltées auprès de la population par l’Atelier Village, et celles que les professionnels de l’urbanisme et du paysage se sont forgés en visitant et en étudiant notre commune.
Ce regard externe, porté sur Courtelary par des spécialistes, a permis de mettre en évidence des forces sous-estimées à l’interne. Pour exemple, Philippe Cattin cite la Suze, qu’EspaceSuisse met en exergue comme une richesse très importante. « En tant qu’autorités locales, confrontées notamment aux coûts importants générés par l’entretien de nos ponts et donc aux problèmes que peut causer cette rivière, nous avions tendance à sous-estimer nettement sa valeur en tant qu’attrait réel de notre localité. Le rapport remet les pendules à l’heure dans ce domaine. De même, il met le doigt sur la richesse du bâti local, d’une esthétique certaine et qui comprend de très nombreux immeubles de grande valeur. »

Du concret
Dans le même ordre d’idées, plutôt que de se lamenter sur l’absence de surfaces libres, pour créer de nouvelles zones d’habitat et/ou commerciale/artisanale/industrielle, il s’agira de plancher sur les solutions de densification suggérées par les urbanistes, à travers des réaffectations, des rénovations ou des modifications du bâti existant.
Le rapport dessine également des pistes pour densifier le centre ancien tout en préservant son harmonie architecturale.
En matière de mobilité douce également, les propositions listées par les auteurs du rapport sont très pertinentes.
Le document livré par EspaceSuisse est riche et divers. De surcroît, c’est un dossier vivant, que ses auteurs sont disposés à développer dans les axes souhaités et à compléter par des informations ultérieures. Il s’agit d’un document concret qui servira de fil rouge, pour le Conseil municipal actuel, mais également pour les autorités futures.

Idées bienvenues
Rappelons que plusieurs groupes de réflexion se sont formés durant l’Atelier Village, avec intention de poursuivre leur travail par la suite. Ils sont désormais totalement autonomes, mais les autorités soulignent qu’elles accueilleront leurs propositions et autres idées avec tout le sérieux qu’elles méritent.
« Chacun peut contribuer à faire vivre le village, à le rendre plus agréable, en planchant sur les améliorations et autres nouveautés possibles », conclut Philippe Cattin. | cm

*Le rapport définitif sur l’Atelier Village peut être consulté ici*

EspaceSuisse souligne qu’en toute saison, la Suze est un atout important pour notre village, pour sa qualité de vie et la valeur de ses paysages

L’histoire du village

L’histoire du village racontée et illustrée par un passionné

Noël Stalder offre une conférence basée sur cinq années de recherches et intitulée « Les petites histoires de la grande histoire de Courtelary »
De longue date, l’Histoire et les traces du passé passionnent Noël Stalder, celles de notre région tout particulièrement. C’est donc presque naturellement qu’une fois l’âge de la retraite atteint, ce maçon-contremaître en bâtiment s’est proposé comme moniteur au sein de l’association de Pro Senectute. Dans ce cadre, il a conduit de multiples sorties visant aussi bien la découverte historique et les anecdotes que l’exercice physique.

Lorsque cela coule de source
La première des courses dirigées par Noël Stalder s’intitulait « Cormoret et ses ressources » et se penchait en particulier sur l’utilisation faite dans cette localité de l’énergie hydraulique d’une part, de l’abondance en eau potable d’autre part.
Tout prochainement, il sera l’auteur d’une présentation du canton de Berne en diapositives, ainsi que d’une conférence illustrée sur le Rhône, de son glacier à son arrivée à Genève.
Ces dernières années, les « ça me dit marche » se sont ajoutés au programme de Pro Senectute.  
Ce marcheur infatigable, aux yeux largement ouverts, manifeste des intérêts multiples et passionnés, on le voit. Ceux-ci lui valent d’innombrables découvertes, qu’il apprécie énormément de pouvoir partager.
« Découvrir la grande et la petite histoires qui ont forgé notre pays, c’est un bonheur immense. Faire partager ces découvertes, c’est encore plus plaisant », souligne-t-il en ajoutant qu’il s’efforce, avec malice et bonheur, de glisser dans ses présentations le plus possible de clins d’œil, de touches humoristiques, afin de rendre le partage encore plus chaleureux et agréable.

Que de balades !
Né en 1946 en France, dans une grande famille de nationalité helvétique par le père, notre féru d’histoire a débarqué en Suisse en 1961, avec les siens. « Mon père avait toujours souhaité retrouver sa terre natale. »
En 1977, Béatrice et Noël Stalder s’installent à Courtelary, tout près du collège, où ils ont élevé deux enfants et où ils ont littéralement plongé leurs racines. Ce qui n’empêche surtout pas le couple de prendre souvent la route ou le rail, pour aller marcher abondamment à travers toute la Suisse et la France.
Ces sorties nourrissent le blog créé en 2012 par Noël Robert Earl Stalder  -de son nom de baptême complet-, qui utilise son troisième prénom pour l’appeler « Les balades du père Earl ». Il y décrit une grosse cinquantaine de virées, explications et photos à l’appui, qu’on se le dise !

Cinq ans de recherches
Pour préparer chacune de ses courses et conférences, Noël Stalder se plonge longuement -et avec délice !- dans les archives de Mémoires d’Ici. Le rendez-vous qu’il nous fixe, le 17 novembre prochain, conclut pas moins de cinq années de recherches, menées pour la plupart au Centre de documentation régional.
La conférence, très richement illustrée, se déclinera en neuf thèmes, intitulés ainsi :

  • De la ferme au moulin
  • Du moulin à la boulangerie
  • L’église et l’école
  • La préfecture et la justice
  • Les auberges et les incendies
  • L’artisanat et l’industrie
  • Les événements marquants pêle-mêle
  • Les services publics (téléphone, Poste, eau, électricité)
  • L’évolution du village

Chacun de ces thèmes sera découpé en dix à vingt volets, tous illustrés.

Quelques indices…
Un des premiers tracteurs de Courtelary au début du siècle passé, le tas de bois alimenté par les paroissiens pour le pasteur à côté de la maison de paroisse, le dernier échafaud et la pierre tombale du dernier bourreau de Courtelary utilisée comme chèvre d’une fontaine, le net refus du droit de vote féminin en 1959, l’épopée de l’orgue muet à l’église, les 97 élèves auxquels enseignait un seul instituteur en 1830 environ, la nomination des tenanciers d’auberges par le Prince Evêque, l’incendie monstre qui détruisit d’un coup d’un seul pas moins de 29 habitations en 1811  -et explique le grand nombre de bâtiments estampillés 1811 le long de la Grand-Rue-, l’épopée incroyable de la manufacture de drap qui aurait dû voir le jour dans notre village, la découverte d’un habitant de Courtelary qui fut le précepteur d’un futur roi de Prusse, les aventures de La Poste qui a occupé plusieurs endroits différents dans la bourgade, le trajet Bienne-La Chaux-de-Fonds qui prenait plus de trois heures par le train de 1874, entre autres et nombreux faits et anecdotes : Noël Stalder passionnera son auditoire, c’est sûr et certain ! | cm

*Vendredi 17 novembre, salle communale (Centre communal), 19 h. Entrée libre

L’ancien Buffet de la Gare, disparu dans un incendie il y aura 40 ans en juillet prochain